L'ASSURANCE VIE, le meilleur placement

Mars 2019 - Assurance-vie

OUVRIR UNE ASSURANCE VIE ? LA MEILLEURE DÉCISION POUR LES 3, 15, 100 ET 250 PROCHAINS MOIS

Aujourd'hui, pour placer vos économies, vous avez à votre disposition des dizaines d'enveloppes et d’intermédiaires, et des milliers de produits et titres qu'il faut choisir en accord avec vos objectifs, votre horizon et votre profil de risque. Pas étonnant qu'on s'y perde... Pourtant il y a une chose que vous avez bien faite : vous avez ouvert un contrat d'assurance-vie. Et vous allez être ravi(e) de cette décision dans 3 mois, 1 an, 8 ans et 30 ans. On vous explique pourquoi.

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7 RAISONS D'AVOIR UN CONTRAT D'ASSURANCE-VIE, À TOUT ÂGE ET À TOUT MOMENT :

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1.POUR PRENDRE DATE

L'assurance-vie a beaucoup d'avantages, le plus connu étant peut-être l'avantage fiscal sur les gains. Lorsque vous faites un rachat partiel sur votre contrat, les gains constitués dans ce rachat sont imposés à l'impôt sur le revenu ou subissent un prélèvement forfaitaire libératoire. Et si le contrat a plus de 8 ans, vous bénéficiez d'un abattement annuel de 4600 euros pour un célibataire ou de 9200 euros pour un couple marié ou pacsé, alors que le taux de prélèvement peut tomber à 7,5 % (pour les encours inférieures à 150 000 euros par personne). 
Il s'agit bien de l'âge du contrat. C'est à dire que si votre contrat a plus de 8 ans, l'avantage fiscal s'appliquera sur tous vos retraits. Certes, l'assurance vie est dans le champ de la flat tax, mais elle continue de bénéficier d'un régime fiscal dérogatoire.

En clair, avoir un contrat d'assurance-vie de plus de 8 ans est une vraie niche fiscale. Ouvrez un contrat dès maintenant, avec un petit versement, pour prendre date et pour en profiter dans 8 ans.

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2. POUR VERSER VOS PREMIÈRES ÉCONOMIES

La mise en place de versements programmés permet de constituer une épargne beaucoup plus rapidement. Rien qu'en versant 50 euros par mois sur un contrat d'assurance-vie, vous obtenez sur 8 ans un capital de plus de 5000 euros (5472 euros*).

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Attention à bien sélectionner un contrat sans frais d'entrée. Ces frais rognent une partie de chaque investissement avant même que vous ne puissiez faire fructifier ce capital. Ces frais de versements, de 5% au maximum, sont légion sur les contrats traditionnels. Dans la simulation ci-dessus, si vous subissez 5 % de frais sur les versements, vous perdez plus de 240 euros. 5 mois d'économies envolées en fumée.

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3. POUR OBTENIR UN RENDEMENT SÛR

Le Livret A et le Livret Développement Durable (LDD) sont à 0,75 % de rendement, alors que celui des Plans d'épargne logement (PEL) maintient péniblement les 1 %.


Certains « supers livrets» offrent encore 2 à 3 % mais sur des périodes courtes (de 3 à 6 mois) et la promotion n'est utilisable qu'une fois. Et le gain est imposé chaque année... Ils sont donc à éviter.

Pour 2018, le taux moyen des fonds en euros est attendu autour de 1.60%**. Même sans les avantages fiscaux à 8 ans, et si on se trouve dans un tranche marginale haute, le rendement moyen net est donc supérieur à ce qu'on obtient sur tous les livrets, réglementés ou non.

À savoir , le fonds en euros Suravenir Opportunités, que nous préconisons avec nos contrats a servi en 2018 un rendement de 2,80**% nets de frais de gestion. Une performance qui détonne à l'heure où le rendement moyen des fonds en euros peine à se maintenir à 1,5% !

4. POUR INVESTIR EN ACTIONS ET OBLIGATIONS

On trouve des contrats d'assurance vie qui proposent plusieurs centaines de supports. Outre le fonds en euros, on peut loger dans son contrat des fonds d'actions, des fonds d'obligations ou encore des fonds « mixtes » (investis en actions et en obligations).

Dans des contrats « à architecture ouverte », vous trouverez des fonds de différentes maisons de gestion indépendantes (Carmignac, Rothschild, Fidelity,...), sur différentes zones géographiques (France, Europe, États-Unis, Émergents,...) et différents styles de gestion (Secteur, Value, Flexible,...). Quantité et qualité donc...

À savoir : Avec la baisse des rendements des fonds en euros, l'investisseur, même prudent, doit s'intéresser aux unités de compte s'il veut maintenir le rendement de son contrat d'assurance-vie. Et au sein des contrats que nous proposons, vous bénéficiez, sans frais d'arbitrage, de plus de 600 OPCVM qui correspondent à différents profils de gestion. Des fonds en actions pour les profils dynamiques, mais aussi des fonds équilibrés ou prudents et des fonds obligataires.

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5. POUR INVESTIR EN IMMOBILIER

Le saviez-vous ? Il est possible de loger, dans un contrat d'assurance vie, des sociétés civiles de placement immobilier (SCPI). Elles ont pour objet l'acquisition et la gestion d'un patrimoine immobilier locatif. En pratique, les sommes versées par les souscripteurs sont destinées à l'achat d'un ou plusieurs biens immobiliers. La gestion de ce patrimoine est confiée à une société de gestion qui se charge de le louer et de l'entretenir. En contrepartie, elle reverse, sous forme de revenus réguliers, une quote-part des loyers encaissés à proportion de des droits dans la SCPI.

Ces produits permettent entres autres :

-       D'investir dans la pierre sans les contraintes de la gestion
- De mutualiser les risques (les sociétés investissent dans plusieurs dizaines de biens)
- De bénéficier des avantages fiscaux de l'assurance vie sur un placement immobilier

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6. POUR PLACER VOS LIQUIDITÉS À COURT TERME

Contrairement à une idée reçue, les sommes investies dans l'assurance-vie sont toujours disponibles. Comme pour un livret. Et même avant 8 ans, la fiscalité peut être plus douce que pour un livret non réglementé.

Exemple :

Pour un investissement de 50000 euros rapportant 2,5%* sur un an (1250 euros d'intérêt):

- Sur un livret non réglementé, les 1250 euros vont être imposés, que vous fassiez ou non un retrait, à votre tranche marginale d'imposition : Soit 175 euros si vous êtes dans la tranche à 14%, 375 euros dans la tranche à 3 % et 512,5 euros dans la tranche à 41%

- Sur le fonds en euros d'un contrat d'assurance-vie, il n'y a pas d'impôt sur le revenu tant que vous ne faites pas de retrait. Donc, potentiellement, l'impôt est nul. Si vous faites un retrait, seule la partie gain de ce retrait sera imposée.

Malgré la flat tax, les sommes déjà versées dans l'assurance-vie avant le 27 septembre 2017 ne subissent pas cette imposition et gardent les taux de prélèvement actuels, donc 7,5 % pour les contrats de plus de 8 ans. Par ailleurs, les épargnants détenant moins de 150 000 euros (300 000 euros pour un couple) d'encours en assurance-vie ne sont également pas concernés par cette flat tax.

Seuls les épargnants détenant plus de 150 000 euros (300 000 euros pour un couple) d'encours en assurance-vie sont donc concernés par la flat tax, et uniquement pour la partie supérieure à ce niveau. La hausse de la fiscalité pour ces épargnants sera donc très limitée d'autant que le gouvernement a décidé de maintenir les abattements de 4600 euros pour une personne seule et 9200 euros pour un couple.

Il faut enfin rappeler que le PFU de 30 % comprend les prélèvements sociaux de 17,2 %. Donc la part d'impôt sur le revenu sera de 12,8 %, un taux pas beaucoup plus élevé que les 7,5 % actuellement...

L'assurance-vie garde donc tout son intérêt fiscal après 8 ans. Vous recherchez un placement sûr et disponible pour votre épargne ? Privilégiez l'assurance vie.

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7. POUR VOTRE SUCCESSION AVANT 70 ANS... ET APRÈS

L'assurance-vie, au-delà d'être un placement adapté pour faire fructifier un capital et préparer sa retraite, est aussi un outil idéal pour préparer sa succession. Grâce à la clause bénéficiaire, vous désignez librement le ou les bénéficiaires du capital placé sur le contrat. Vous pouvez donc avantager qui vous souhaitez, aux dépens d'autres héritiers (sans toutefois exagérer et déshériter un enfant)

Il est conseillé aux investisseurs particuliers de faire le plein d'assurance-vie avant 70 ans, pour profiter pleinement de l'abattement, de 152 500 euros par bénéficiaire sur les droits de succession. Au-delà les sommes sont taxées au taux de 20 %

Une fois que vous avez profité au maximum de l'abattement de 152 500 euros par bénéficiaire, il n'y a plus d'intérêt successoral à verser dans une assurance vie...jusqu'à 70 ans. Car une fois passé 70 ans, vous ne bénéficiez plus de l'abattement de 152 500 euros, mais vous bénéficiez d'un nouvel abattement à hauteur de 30 500 euros par assuré tous contrats confondus

Par ailleurs, pour les versements après 70 ans, seules les primes versées sont soumises aux droits de succession. Les gains, quels que soient leurs montants, sont exonérés.

Une nouvelle carotte successorale bienvenue d'autant plus qu'elles sont très rares passé 70 ans. Livret, PEA, immobilier, etc... aucun autre placement n'offre d'abattement sur la succession après 70 ans. À bon entendeur....

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Avant ou après 70 ans, l'assurance-vie est le meilleur outil pour préparer sa succession

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